[TYTGAT, Edgard]

[TYTGAT, Edgard]
Le Simple bonheur d'Edgard Tytgat (1952)

Film 16 mm, noir et blanc, son optique, version française: copie moderne par les Studios Dassonville à partir de l'original en 35mm, 174,8 mètres, durée: 15 min. 55 sec, pas de plan synchrone, voix off, très bonne condition (renseignements techn. par André Colinet du C.B.A.). Sous boîte métallique. Joint : 4/6 cartons de générique peints par Tytgat au pinceau noir sur carton: titre, scénario, découpage et fin. Manège de chevaux de bois réalisé dans le style de Tytgat par J. Stevo, gouache sur papier d'Arches, c 15 x 17 cm. Jolie pièce ouvrant le film. Lette de ET à J. Stevo concernant le film (4 juillet 1952) + 2 autres. Album avec 29 photos originales sur tournage du film. Grand dossier avec documents techniques et administratifs, contrat et devis pour le film, détail des oeuvres exposées à Anvers avec signature de ET (14 feuilles), photocouleur de Maria âgée et autres document

En 1952, trois ans avant la mort de Tytgat, Steppé et Lövrix, 2 jeunes cinéastes désireux de réaliser un film sur le peintre, demandent à J.S. de rédiger un commentaire sur la vie et l'oeuvre de celui qui fut son professeur de dessin à l'académie de Woluwe-St-Lambert. Le film sera projeté en complément dans diverses salles en '52-'54. Réalisé 'avec des bouts de ficelles', il n'en reste pas moins un bel hommage au peintre, à ses oeuvres et à son univers. Après le générique peint par T., des chevaux de bois tournent sur un air de boîte à musique et le monde de T. apparaît: jouets, automates, marionnettes... T. peint alors sous nos yeux, d'un petit geste précis et ramassé, tout en chantonnant. Commence alors le lecture off illustrée de toiles ou de bois de l'imagier. Le film se termine sur Tytgat quittant l'atelier pour rejoindre sa femme Maria. Le manège tourne à nouveau et la 'Fin' apparaît